Je tiens à vous transmettre de mes proches et moi-même nos plus sincères condoléances à Stéphane, Isabelle, Alexandre, Justine et Thomas ainsi qu'à toute votre famille.
Bon courage !
Je veux offrir à toute la famille de Pierre, mes condoléances les plus sincères suite à son décès.
Si j’ai pu connaître et rencontrer votre père, et quelquefois Lyse, dans des circonstances sociales ou d’évènements du genre Chambre de Commerce à compter de la fin des années 1970, je conserve un souvenir encore vif de l’admiration qu’avait mon père pour lui et ses contemporains au gouvernement du Québec de 1966 à 1968, Marcel Casavant et Michel Bélanger: ils formaient son premier trio, comme disent les entraîneurs de hockey, ses “trois mousquetaires” sur lesquels je sais personnellement qu’il se fiait en matières financière et économique.
Pierre aura très certainement contribué pendant de nombreuses décennies de façon substantielle et durable à la solidité du Québec, grâce à sa compétence, son jugement et son engagement qu’il aura apportés au service de notre société.
Daniel Johnson, G.O.Q.
Ancien premier ministre du Québec
Président du conseil
Gestion d’actifs mondiale Walter
Cher Stéphane et chers membres de ta famille, que je ne connais pas,
Toutes mes condoléances! Je garde tant de souvenirs de votre père. Je l'ai connu, enfant d'abord (j'avais entre 10 et 14 ans!), dans ce qui sont aujourd'hui (et à nouveau) les bureaux du premier ministre, mais qui étaient dans le temps le Ministère des finances. J'y allais rejoindre mon père pour rentrer à la maison avec lui après l'école, et je le voyais parfois dans son bureau.
Je l'ai beaucoup mieux à la Banque d'Épargne, rue St Jacques, puis (plus tard encore) lorsqu'il était consultant où il nous a beaucoup aidé, moi et mon équipe d'étudiants de MBS dans quelques uns des travaux de session que nous avions à faire. Quelle intelligence, quelle gentillesse, et quelle générosité avec son temps!
Sur une note plus formelle, et qui mérite aussi d'être dite, même si ça sonne un peu grandiloquent parce qu'on n'est pas habitué de nommer les choses ainsi, au Canada.
Il y a de ces personnes qui avaient le sens de l'État et qui ont bâti le Québec moderne. ton père, Stéphane, était une de ces personnes-là. Un des plus importants hauts-fonctionnaires de la Province (sous-ministre des finances) dans les "grandes années" de la Révolution tranquille, des gouvernements Johnson, Bertrand, des premiers gouvernements Bourassa et du début du gouvernement de René Lévesque. Un homme de l'ombre, comme c'était son devoir de l'être, un homme doux, intelligent, de si bon conseil, et humain, très humain.
Qu'il repose en paix, Stéphane, et que le deuil que vous avez tous à vivre soit adouci par le fait de savoir à quel point tant de gens l'aimaient et sont reconnaissants pour tout ce qu'il a fait.
Jean-François Garneau
Professeur, École des Sciences de l'Administration
Université du Québec (TÉLUQ)
À ses enfants ainsi qu’à toute sa belle famille, je comprends et partage votre chagrin.
Pierre Goyette était un homme engagé et toujours de bel humeur. C’était un plaisir de le croiser et d’échanger avec lui sur différents sujets, en finance, placements, politique et en parlant de tennis, qu’il a pratiqué jusqu’ã un âge vénérable, ses yeux brillaient. Roger Federer disait-il, est mon idole; il en parlait avec l’enthousiasme d’un adolescent.
Durant ses récentes années au 95 McNider, nous étions voisins de palier. Les résidents, tout comme moi, n’oublieront pas son inlassable dévouement entre autres, par ses recommandations annuelles d’accepter ou de refuser les hausses de loyer, suite à ses prévisions et à ses calculs minutieux.
Pierre Goyette, vous resterez dans ma mėmoire.
Lorraine Lambert, app. 404/ 95 McNider
En tout premier lieu mes condoléance à sa famille qu'il appréciait tant et il m'en parlait très souvent.
J'ai tellement apprécié sa grande joie de vivre, son côté taquin, son immense curiosité intellectuelle, son dynamisme étonnant sans oublier sa très grande vivacité d'esprit. C'était un homme tellement charmant et il va beaucoup me manquer dans le quartier.